La musique est la représentation du réalisateur Yves Boisset, un homme populaire, authentique cherchant à travers ses films à faire savoir des vérités humanitaires. Cette création originale est pensée autour d’un thème avec des influences de musique populaire et jazzy. Pour faire parler de ses films, la musique se mélange à plusieurs genres musicaux illustrant l’originalité et l’audace de Mr. Boisset. Ici le monde musical a plusieurs rôles allant de narrative à l'illustration, tout en soulignant l’histoire émotionnelle et informative de cet homme et réalisateur méritant de ne pas être oublié.
La musique est ici la parole d’une forêt mystérieuse et gardienne à la fois. Cette forêt alimente les histoires imaginaires des enfants, leur fait découvrir les dangers de la vie tout en leur enseignant un apprentissage sur une harmonisation de soi. A travers ce thème de forêt nous voyageons dans les rêves et inquiétudes de chaque enfant. Un mélange de signature fantastique et primitif, cette forêt devient un monde appart dont les enfants deviennent les gardiens. Une forêt qui accueille tout être à bras ouvert avec leur difficulté et différence. A travers ce thème nous rentrons dans l’intérieur des mondes imaginaires des enfants en plein apprentissage de la vie.
La musique ici a été faite à partir d’un thème et ses variations. Le thème a pour rôle de refléter le caractère unique et singulier du chef qui est avant tout un homme et un père de famille. Ce thème fait ressortir le côté populaire et fantaisie du côté humain de Cyril Lignac. L’inspiration de la musique baroque à un mélange de couleurs folklorique a fait naître cette mélodie remplie de vie et de personnalité. La musique apparaît quand nous rentrons dans la perception de Cyril Lignac dans sa vie de famille ou dans son milieu professionnel pour y apporter une dimension plus humaine. L’aspect populaire du thème nous rapproche de façon indirecte du fait de son instrumentation et les interprétations des jeux. Nous découvrons une partie de nous-même dans Cyril Lignac à travers une musique qui nous ressemble.
La création musicale ici a été réfléchis de manière poétique. Elle est la voix qui appel Ùla à faire face à ses insécurités. Elle est l’appel à la guérison. Tout comme une berceuse chantée a son enfant. L’univers musicale de Ula est créé à partir de sonorité reliée au corps et à la voix. Les écritures rythmiques ont été inspiré de diffèrent pays partant du Takadimi aux palmas latines, chaque cercles rythmiques se développe en grandissant dans une couverture de voix chaude. Dans les voix on reste sur des onomatopées qui transmets une sensibilité de manière universel. La musique ici nous fait voyager dans la conscience de Ula. À travers une fusion harmonieuse des ambiance sonores et musicale nous découvrons un monde fait de douceur et de beauté.
La musique est ici un troisième personnage qui fait parler l’innocence et sensibilité de Clément, le personnage principal. Ce troisième personnage nous rappelle la complexité du temps qui peut paraître long quand on est en vacances à 14 ans. Un temps illustré au violon par une rythmique circulaire. Mais à la vue du corps nue de son voisin octogénaire, Clément ressent du dégoût. A partir de ce moment la musique nous prend par la main de manière délicate apportant une poésie de cette vieillesse qui fait partie du temps de vie. Le dialogue musical se termine par des notes délicates au piano qui nous laisse touché par la sensibilité de Clément.
La composition musicale a été réfléchie sur deux angles. Le premier étant des thèmes orchestraux avec des lignes mélodiques chantant et harmonieux représentant la personnalité grandiose et révolutionnaire de la créatrice Gabrielle Aghion. Le mouvement articulaire des cordes illustre la légèreté flottant des lignes vestimentaires de Chloé. Le deuxième angle se penche sur la frise chronologique de la marque de vêtement. Nous sommes en 1952 quand Chloé a été créée, une révolution pour les femmes qui se libèrent des contraintes vestimentaires. La musique permet à l’auditeur de se plonger dans l’esprit des époques.
Dans cet épisode, le genre musical est électronique. Elle a comme rôle d’habillage sonore et de soutien rythmique. Il y a eu une recherche de timbres concernant les sonorités pour adoucir le message sur l’inégalité des genres dans les Musique Actuelles. D’une séquence faite à partir de sonorité ronde et claire pour accompagner une narration technique, mais aussi des séquences de sonorité industriel et métallique comme transition ambiantique, les pulses rythmiques reste le lien d’unité entre ses séquences ouvrant sur un élan progressif soutenant le dynamique optimiste des témoignages.
Le langage musical de Timy apporte du réalisme à l’imaginaire des enfants. Les textures ont été créer pour assigner un caractère unique et attachant des orphelins. Le Waterphone et les voix sont les instruments utilisés comme matière première aux textures du film. En contraste avec une composition linéaire, la musique illustre la dynamique des enfants par des séquences rythmiques fait à partir de matières organiques.
La musique ici appuie l’aspect fantastique du film. La musique fait parler les objets, la sorcière, les valets et les enfants. La matière sonore a été réfléchis pour attitrer une personnalité à chaque personnage. Les voix pour les enfants, utilisé de manière primitive par un timbre spécifique, le Duduk (instrument a vent Armenian) utilisé de manière narrative pour illustrer le charme de l’envoutante sorcière et une matière riche en timbre faite à partir de petits objets granulant. Dans ce film, la composition musicale offre une intemporalité à l’histoire mais aussi de l’originalité par ses couleurs musicales.
Passant d’un monde sonore fantastique offrant des sensations épiques à un monde digital aux impressions futuriste, les techniques rythmiques du flamenco sont revisitées musicalement.
La musique ici est à l’image de la personnalité de l’enfant. Une composition non conventionnelle, de par son rythme et ses choix instrumentaux, tout comme la perception de louis concernant le monde. La couleur unique des sons reflète une dimension sensorielle liée à l’autisme.
La musique ici accentue les charges émotionnelles ressenti par le gorille comme l’amour, la haine, la paix et la tristesse. Le but étant de renforcer le message de sensibilisation sur la situation précaire des gorilles. Les lignes mélodiques permettent à l’auditeur une perception intime des émotions. Le choix des textures sonores reflète l’univers visuel frôlant la réalité à la fiction.
La musique ici illustre la normalité du « lifestyle » des joueuses. Nous voulions à tout prix mettre en avant musicalement la force mentale des équipes mais aussi la sensibilité de chacune. Ceci grâce à une écriture musicale rythmé, qui donne une force au dynamisme des scènes. Le choix du style musical vise a représenter l’actualité de la femme dans le monde du rugby.
La musique ici met en vie l’environnement de la femme à travers son témoignage. L’univers sonore habille les étapes décrite de sa vie, à savoir le vécu de sa maladie dans son intérieure de soi, le vécu dans un lieux publique et pour finir le vécu dans son intimité Chaque étape est illustrée par des genres musicaux varier allant de sons touchant le « bruitage » à l’Electrodance et Lounge musique
La musique est le fil conducteur de l’histoire. L’univers sonore installe l’environnement de la scène. Le dialogue passe par la performance en direct de phrases mélodique linéaire. Le genre musical fusionne la musique de film avec de l’electrodance.
La musique ici touche l’ordre du Sound Design. Le message étant de sensibiliser les auditeurs concernant la pollution sonores, mon travail a été de mettre en lumière les sons de tous les jours pour que progressivement ça en devient insoutenable. C’est un travail de composition musicale avant tout. La seule apparition de musique se fait à la fin quand le personnage principal se retrouve dans l’environnement qui l’apaise. Les textures sonores utiliser pour le moment musicale ont été réfléchis pour que la transition se fasse facilement auprès de l’audition.